Nous publions ici quatre autres poèmes du recueil de
poèmes d’Abder Zegout :
« L’Amour de la vie »
Le trop plein de vie
Chaque coup de brosse passé dans tes cheveux
Réussit à poursuivre ses soins.
Des tressaillements rythmés et fascinants prouvent ta
vitalité.
Malgré tes gestes fermes, il espère encore plus.
La vague de l’été le fait rêver.
Une influence importune lorsqu’elle est douce.
Le soleil se noie sur ton toit,
Le ciel si bleu, beau temps comme un printemps.
O toi rose, parfume la senteur dorée !
Animée de ton rayon plein de vie,
Autour de ton sourire, enflamme un bonjour
Essentiellement amoureux de la nature.
L’esprit conjure l’amour à l’aider,
Penses – tu qu’il puisse t’oublier ?
Il se promène, il vit de l’activité de tes yeux.
Quand je le croise, il me parle de la tendre nuit.
Mais j’eus à peine le temps de lui répondre.
Il se précipite à la source, clamant sa soif d’aimer.
Jadis, non comme un jus de fruit.
Le vent de l’amour
Dans mon lit, j’entends le léger murmure du vent
Qui par ma fenêtre, souffle, soulève les voiles
Pénètre la chambre et le lit
Pour éparpiller de vieux souvenirs.
Le tonnerre déchire le ciel de haine,
Libère une pluie d’amour torrentielle
Sur cette eau tranquille, puis vient un souffle léger.
Son cœur insouciant envahit mon esprit,
Joue au plaisir de l’été, me faisant frémir.
A travers le reflet de ce regard
Je vis ce beau visage.
C’est lui mon unique espoir,
Vivant, en éclair, illuminant le ciel.
De son vif éclat, il me réveille dans la douceur
L’amoureux
J’écoute le chant de l’oiseau
Réjoui du mois d’août
Clamant la joie de son existence.
Il s’envole de son propre gré,
Destination Paris, pour te rendre visite,
T’inviter au dîner, le calme retrouvé.
Regarde le souhait séducteur
Amoureux de la vie platonique.
Fleur de neige seule à soupirer
La fraîcheur de ce beau papillon
Elle ressemble à la couleur de tes paupières.
Sa corolle se dessine dans le commun regard.
L’un comme l’autre entre deux éclats de rire,
L’amour nageant sur la rose, le papillon tremblant de froid.
Malgré la grêle de la patience, impossible de l’oublier.
Depuis le refus ,tout est figé. Ne plus te quitter
Seulement vivre et mourir dans tes bras.
Le dessein de ton destin
Une fille sensible au caprice,
L’esprit insouciant, chante le souhait.
Les mains dessinent ce beau visage.
Le cœur est impressionné par cette créature,
La bouche narre les photos au quotidien.
Dans un style un peu navrant, il s’excuse
Par le baiser d’un tendre bonjour.
Les yeux de ce beau monde fleurissent
L’image d’un printemps fulgurant.
Les gens s’exilent vers le regard amoureux.
Par le rôle magique de cette fée,
L’amour récompense la confiance si pure.
La dignité découvre la sensation de l’amour.
Il s’engage au même titre qu’elle
A réconforter l’espoir.
Dans le recoin de sa pensée, naît une amitié.
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