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Chronique de la ratière
(Didier Davoust 15 août 2009)
« Toutou n’a pas mis dans le petit cochon !.... ». Là, c’est Raoul qui s’insurge !...Il faut savoir qu’à la ratière, chez Raoul, il existe une institution incontournable, celle du « petit cochon »…C’est une tirelire, tout visiteur doit y mettre une obole !...A la ratière, tout est rémunérable , l’air que vous respirez, l’usage du fauteuil où vous vous asseyez, la musique que vous écoutez, les saintes paroles de Raoul, la nourriture, la boisson, l’eau, le gaz et l’électricité, etc….A l’église, vous donnez pour le denier du culte et les œuvres de Monsieur le curé, à la ratière il faut donner au petit cochon !....Raoul surveille !...
A la ratière, le nombre de verres de vin que vous boirez et le nombre de cigarettes que vous fumez sera noté par Raoul !..
Beaucoup de gens gaspillent leur argent en niaiseries, comme par exemple Toutou qui joue au keno, qui va à Mc Do, qui fume beaucoup…Il vaut mieux donner pour les bonnes œuvres de la ratière !...En plus Raoul distille la bonne parole psychanalytique, poétique, artistique…
Raoul a souvent crié famine dans sa vie, même s’il est issu
d’une famille de milliardaires !....Raoul en est le maudit !...
Raoul aura œuvré pour son père Dieter….
Oui, du côté de la ratière, avec Raoul, pour regarder vers l’a – venir…
A suivre….
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Nous publions ici quatre autres poèmes du recueil de
poèmes d’Abder Zegout :
« L’Amour de la vie »
Le trop plein de vie
Chaque coup de brosse passé dans tes cheveux
Réussit à poursuivre ses soins.
Des tressaillements rythmés et fascinants prouvent ta vitalité.
Malgré tes gestes fermes, il espère encore plus.
La vague de l’été le fait rêver.
Une influence importune lorsqu’elle est douce.
Le soleil se noie sur ton toit,
Le ciel si bleu, beau temps comme un printemps.
O toi rose, parfume la senteur dorée !
Animée de ton rayon plein de vie,
Autour de ton sourire, enflamme un bonjour
Essentiellement amoureux de la nature.
L’esprit conjure l’amour à l’aider,
Penses – tu qu’il puisse t’oublier ?
Il se promène, il vit de l’activité de tes yeux.
Quand je le croise, il me parle de la tendre nuit.
Mais j’eus à peine le temps de lui répondre.
Il se précipite à la source, clamant sa soif d’aimer.
Jadis, non comme un jus de fruit.
Le vent de l’amour
Dans mon lit, j’entends le léger murmure du vent
Qui par ma fenêtre, souffle, soulève les voiles
Pénètre la chambre et le lit
Pour éparpiller de vieux souvenirs.
Le tonnerre déchire le ciel de haine,
Libère une pluie d’amour torrentielle
Sur cette eau tranquille, puis vient un souffle léger.
Son cœur insouciant envahit mon esprit,
Joue au plaisir de l’été, me faisant frémir.
A travers le reflet de ce regard
Je vis ce beau visage.
C’est lui mon unique espoir,
Vivant, en éclair, illuminant le ciel.
De son vif éclat, il me réveille dans la douceur
J’écoute le chant de l’oiseau
Réjoui du mois d’août
Clamant la joie de son existence.
Il s’envole de son propre gré,
Destination Paris, pour te rendre visite,
T’inviter au dîner, le calme retrouvé.
Regarde le souhait séducteur
Amoureux de la vie platonique.
Fleur de neige seule à soupirer
La fraîcheur de ce beau papillon
Elle ressemble à la couleur de tes paupières.
Sa corolle se dessine dans le commun regard.
L’un comme l’autre entre deux éclats de rire,
L’amour nageant sur la rose, le papillon tremblant de froid.
Malgré la grêle de la patience, impossible de l’oublier.
Depuis le refus ,tout est figé. Ne plus te quitter
Seulement vivre et mourir dans tes bras.
Le dessein de ton destin
Une fille sensible au caprice,
L’esprit insouciant, chante le souhait.
Les mains dessinent ce beau visage.
Le cœur est impressionné par cette créature,
La bouche narre les photos au quotidien.
Dans un style un peu navrant, il s’excuse
Par le baiser d’un tendre bonjour.
Les yeux de ce beau monde fleurissent
L’image d’un printemps fulgurant.
Les gens s’exilent vers le regard amoureux.
Par le rôle magique de cette fée,
L’amour récompense la confiance si pure.
La dignité découvre la sensation de l’amour.
Il s’engage au même titre qu’elle
A réconforter l’espoir.
Dans le recoin de sa pensée, naît une amitié.
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La Ratière
(Didier Davoust 07 08 2009)
Avec Raoul, le Marquis du Palis Royal à Paris, parlons de la ratière
Haut lieu alchimique….
La ratière pour aborder et développer la nouvelle époque…
Raoul est l’être de la métamorphose, c’est :
le Rat
l’Ecureuil volant,
Le castor bâtisseur,
Le lapin de garenne tec…
Découvrez la ratière au milieu du désert du monde ambiant…La ratière : un oasis…
Dans le quartier du Palais Royal dans le Ier arrondissement de Paris : la ratière alchimique !....
La Ratière, c’est ainsi que Raoul a baptisé son appartement…
Raoul a baptisé tout le monde, même lui : antre du rat (lui) il sera parlé de Toutou, du Chacal, de Fifi, de Souriceau, de l’Ours (Oui, l’Ours a fréquenté la ratière !...), etc
Comme Raoul, pour se préserver, que chacun crée sa ratière !....
Il est gros le rat….
Raoul ne boit pas, il se désaltère…
Raoul ne mange pas, il se cale un petit creux ( à toute heure du jour et de la nuit)
Raoul maîtrise les trois arts, musique, peinture, écriture
La ratière, le havre de paix du dandy du Palais Royal…
A la ratière Raoul a élevé une poule, un lapin de garenne, des souris, des poissons rouges, etc….
Maintenant il élève des oiseaux !...Indépendamment de cela, sur sa terrasse, il a aménagé des volières pour les oiseaux du voisinage qui viennent le visiter
La ratière aménagée en espace littéraire et artistique…
Vous pouvez y redécouvrir entre autres les sixties et les seventies.
Raoul aura également fait SAMU social pour les SDF du quartier du Palais Royal et de l’Opéra, entres autres pour la bande du Monoprix ou de l’Opéra !....
Raoul a renoué avec l’esprit du Palais Royal, ancien quartier des gueux…La ratière aurait pu être mise en vers par Maître François Villon : « Ballade de la ratière ».
A la ratière Raoul prépare de bons plats !...Le vin est servi dans des cruchons !...Raoul est un aristocrate !....
Il a surnommé l’auteur de ces lignes le Gros Ragondin… !!...
La ratière pour tenir bon face à la psychose familiale…Raoul aura effectué son martyrologue !...
Raoul avait le bonnet, maintenant il porte des chapeaux de différentes couleurs !....
Partout où passe Raoul, ce sont tourbillons…Aussi a – il besoin d’aller respirer à la ratière !...
Du côté de la ratière pour passer d’un monde qui disparaît à un nouveau qui émerge !...
Le Rat alchimique est là !...
Six étages à monter pour arriver à la ratière…C’est un parcours alchimique, initiatique…
09 août 2009
A la ratière, l’époque actuelle aura été abordée…
La ratière : un lieu de passage…
Ici et là, développer les espaces – temps analogues à la ratière…
Des plantes, du parfum, des livres, la radio, mais pas la TV…C’est la ratière…
Là, ça sonne : c’est M. Lecoq des services d’urbanisme de la ville de Paris qui vient pour constater certains travaux à faire !....
Que d’aventures, de péripéties à la ratière !...
Régulièrement, consultez la rubrique de la ratière !....
Rédigé à 13:34 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Promenade à recommander
Lieu de villégiature et de repos à connaître :
Le parc de l’île Saint Germain
Situé sur la commune d’Issy les Moulineaux, à la limite de Boulogne Billancourt.
Des sentiers très nombreux qui bordent la Seine, avec des plantes sauvages.
Les arbres sont variés et grands.
Une halte restaurant avec terrasse a été installée à une extrémité.
C’est un lieu idéal pour les pique niques.
Ce lieu appartenait autrefois à l’armée de terre pour y stocker des denrées alimentaires et des munitions. Il reste quelques murs et les sentiers sont pavés ; original (époque : 1870)
Moyens d’accès :
Voiture : un parking est prévu
Transports : Plus facile Métro Marcel Sembat
Direction Pont de Sèvres, puis prendre le bus 126 et descendre à l’arrêt quai de Seine. L’entrée du parc se trouve juste après la traversée du pont de Boulogne.
François Marche
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Poèmes (Abder Zegout)
Voici encore un jeune qui rêve d’amour ! Abder Zegout n’a pas seulement rêvé. Il n’a pas uniquement souhaité. Il a commencé à réaliser ses rêves. Mais Abder Zegout est – il le seul jeune à rêver d’une vie où triomphera l’amour ? Est – il le seul à considérer l’amour comme étant la première vertu de la vie ? Certainement pas ! Ils sont très nombreux, les jeunes qui ne veulent pas accepter de vivre avec résignation dans une société où l’exclusion de l’amour est une qualité. Une société où l’amour est réprouvé. Une société où l’amour est résiduel. L’amour, cet éternel rescapé. Un sentiment que Abder Zegout est ses semblables tentent de ressusciter, raviver, ranimer.
Inutile de chercher ailleurs
Ce qui peut la rendre heureuse :
Une joie dans un cœur.
Elle est venue en visiteuse,
Après tant d’attente, Elle accepte d’être rêveuse
Chaque fois que le besoin se montre.
L’esprit est saisi pour le chemin préconisé
D’un enchantement choisi dans la mission d’écrire.
Comprendre la révélation déposée
Qui veut bien lui donner la gaieté.
Si seulement il pouvait la rendre amoureuse.
Il aura suffi d’un regard
Pour que sa vie devienne meilleure.
Il aura suffi d’un sourire
Pour qu’elle soit joyeuse
De ma saveur, sous une plaie d’amour.
Son rêve c’est d’être chanteuse.
Je suis resté fidèle à mes principes.
Dans le cœur, le souvenir se conserve.
D’un serment d’amour, je me suis fait une idée.
Le charme fascine mes raisons.
Par la promesse de la vie, je te ferai chanter l’audace.
Que de joie et de sourires me vaudront mes prières !
Que si près du but, contre toute attente
Un orage si fort brise le silence.
Ote ce nuage, je ne puis résister.
Tu veux que je vienne et tu me fais attendre.
Je fais ce que tu veux sans me sentir loin de tes yeux.
Je reste là à attendre la chance de ma vie.
Le rêve est beau, vagabond de l’amour.
J’ai pu l’aider à observer le gibier sans le piéger.
Malgré cela, il avait l’estime généreuse, réconfortant la fée
Doux, calme de ne plus charmer.
Il me laisse seul à soupirer, me vexe tout le temps,
Plutôt que de me regarder.
Je lui fais part de mes avances, mon cœur comprend l’amour
Qui un jour peut – être sera écrit dans tes mains !
Et une chanson dans ton cœur.
Je souffre de me retrouver loin de ma mère
Et j’enrage de voir mon amour s’envoler.
Je sais que pour fuir ce bas monde
Je n’ai qu’à m’en prendre à son mauvais sort
Je saurai chanter ses yeux par ma voix,
Mais il est bien difficile d’être loin de ce qu’on aime.
Beauté !Puisque pour un esprit j’ai tant donné.
Faut – il dire de ses mots : je me nourris de savoir ?
Je n’ai ni parents, ni soutien, ni bien.
J’ai été trahi. Mes bontés, ma tendresse sont oubliées.
Mais je garde espoir après ce lâche coup
Jusqu’à ce que cela me procure du courage.
Lance – toi ! N’as – tu point peur ? Ah ! Je souffre
Et je laverai mille fois mon regard.
Je veux vivre en solo, mais toujours en beauté.
Qu’il est long le chemin après cette mélancolie !
Dans un regard pétillant,
Une douce pluie de joie
Et un rire qui me dit bonjour.
Il me rend souriant sans que je n’ose lui répondre.
Je n’oublierai jamais ce dimanche.
Brillante comme un clair de lune.
Elle est sensible, romantique, émouvante
Comme un parfum à la fois frais et délicat,
Comme un bouquet laissant derrière lui un sillage.
Sur sa peau brune, elle portait une jupe.
Mes yeux furent les premiers à distinguer le charme,
La liberté me montre la sensation,
Le cœur recherche l’oasis avec l’envie de la revoir,
Il me raconte son savoir faire
Et dans cet espace sentimental, l’harmonie se propose.
Le fin mot de l’amour
O merveille de la beauté
Qui séduit les cœurs,
Jetant la jalousie dans les esprits,
Découvrant le beau secret de la vie féminine,
Alimentant de nouveau la raison d’être.
De son souffle, une bouffée d’air
Nous rend plus aimables, une fois vécue la passion.
Ah ! Tu verras, beauté.
L’amour a changé de cap.
Le regard n’est pas le fin mot de l’estime,
L’émanation elle – même nous pousse à l’excès,
Au plaisir de vivre le sentiment charnel.
Toutes les voluptés ne seront plus qu’un souvenir.
Le cœur à l’âme romantique,
La nostalgie dicte un sourire à son visage.
Seule compte pour nous la côte de l’amour.
De son style, on perçoit : une ambition de plaisir
Et ala franchise aux yeux du monde sentimental.
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Chroniques de l’Ours
L’Ours n’est pas chauvin et dévore les plats de tous les pays.
Aujourd’hui 29 juillet, après
l’accident de P. Massa, je suis quelque peu perplexe après le grave accident de
samedi survenu aux essais du grand prix de Hongrie. Donc, vous avez compris que
je vous parlais encore de Formule 1. Au cours du journal télévisé, j’ai appris
que Michael Schumacher allait pour un temps, reprendre le flambeau et revenait
dans la compétition en assurant l’intérim de Massa au sein de la scudéria
Ferrari. Cela me fait penser à Jean Pierre. C’est lui, qui me l’a fait
connaître. Il soutenait Alonzo ; on en parlait quelquefois, en constatant
que Schumacher gagnait. Mais lui préférait Renault, quant à moi, je ne suis pas
chauvin.
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