Paris, le 25 janvier 1990
Dans le phyltre malherien,
s'éveille le rapport humain;
la terre qui s'enneige
dans le songe métaphysique.
La journée se lève
dans le cri macabre,
de la marche sombre,
et l'individu se dégaine....
La prière se rattache
et la nuit s'en va noire
pleine de cris manipulés.
Chaque homme se trouve !
Mahler ou mal dans l'air,
un son des culpabilités
d'angoisse,
un tableau de stratège...
Trouve ta nuit pour le jour.
Poème dédié à Salima, ce jour
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.